vendredi 18 mai 2012

Germany's got talent!

Pour une fille qui a jamais vraiment embarqué dans les épisodes d'America's next Top model, je peux vous dire que c'est une toute autre chose pour la version allemande ''Germany's next top model'', en partie parce les allemandes sont assez jolies merci, qu'elles ont de beaux vêtements et de belles chaussures, mais surtout à cause de toutes les phrases boboches de feufille que je peux me pratiquer une journée de temps à répéter. Mon nouveau mantra: Jetzt fühle mich wie ein Star!

Si l'Allemagne a vraiment du talent, ce ne sera certainement pas pour son cirque qu'il se fera connaître. Oh NON, mesdames et messieurs. Mardi soir, à Wiesbaden, au cirque familial Carl Busch vous êtes invités. N'oubliez pas les parapluies, le chapiteau n'est pas étanche. Mais bon, un choc culturel de dernière minute était nécessaire! Un éléphant qui grimpe sur un minuscule tabouret rouge et jaune pendant qu'un homme-fort arrache un clou d'une planche de bois avec ses dents à côté d'un vieux clown coincé dans une craque de trampoline sur un air de (attention) Les rois du monde sorti tout droit de la comédie musicale Roméo et Juliette, ça valait quand même le détour. Mais ouch.

Ce n'est pas plus mal, finalement, car j'ai pu découvrir beaucoup de nouvelles choses, comme le fait que les taches sous le tapis qui fait office de piste proviennent du caca des poneys (des petits baquets, Isa!!!), que je suis très certainement et intensément allergique aux chevaux (mais pas aux petits baquets), que c'est pas tous les cirques qui sont bien équipés comme le cirque Monti et qu'une famille de cirque, ça veillit aussi... et des vieux clowns ça peut devenir épeurant. J'ai même eu droit à mon 5 minutes de gloire quand mes colocs ont vu que je connaissais la chanson de la comédie musicale... Oh que je m'en suis donné à coeur joie en me prenant pour une Marie-Ève Janvier crinquée... Et c'es reparti pour un show de mauvais goût: Les Roooouuuuuuuuuuuaaaaaa du MOOOooooOooOOOnde font tooooousssqquuu'ils vEEEUUUUUuuulllll'  (...)

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